Amélie Nothomb - Ni d'Ève ni d'Adam
Au dos du livre - Résumé :
Stupeur et tremblements pourrait donner l'impression qu'au Japon, à l'âge adulte, j'ai seulement été la plus désastreuse des employés. Ni d'Ève ni d'Adam révélera qu'à la même époque et dans le même lieu j'ai aussi été la fiancée d'un Tokyoïte très singulier. A. N.
"Le lecteur, en croisière découverte dans les méandres des us japonais, s'amuse, comme devant une photographie dont Amélie écrirait brillamment la légende : la sienne." Brigitte Hernandez, Le Point.
"Derrière les odeurs suaves de gingembre et les couleurs douce-amères du récit d'apprentissage, le roman sans doute le plus intime de cette écrivain définitivement atypique." Christine Rousseau, Le Monde.
"Le lecteur, en croisière découverte dans les méandres des us japonais, s'amuse, comme devant une photographie dont Amélie écrirait brillamment la légende : la sienne." Brigitte Hernandez, Le Point.
"Derrière les odeurs suaves de gingembre et les couleurs douce-amères du récit d'apprentissage, le roman sans doute le plus intime de cette écrivain définitivement atypique." Christine Rousseau, Le Monde.
Mon avis :
L'autre jour en faisant mes courses j'ai vu ce livre dans un rayon. Et je me suis dit : "Tiens, ça fait longtemps que je me suis pas fait un petit Amélie Nothomb !" Alors je l'ai pris, tout simplement.
C'était la première fois que j'avais l'impression très nette de lire une autobiographie d'Amélie Nothomb. On croit vraiment à tout ce qu'elle nous raconte, et on s'imagine, d'après ses descriptions emplies d'émotions, les rues de Tokyo, les cafés, le Mont Fuji, et tous ces lieux qu'elle visite. On s'émerveille aussi devant les mœurs des japonais qui nous semblent si étranges. Ce qui m'a le plus amusée est leur sens de la politesse complètement différent du nôtre, et j'ai appris avec beaucoup d'étonnement que chez les nippons, l'art de faire la conversation est un métier.
C'était la première fois que j'avais l'impression très nette de lire une autobiographie d'Amélie Nothomb. On croit vraiment à tout ce qu'elle nous raconte, et on s'imagine, d'après ses descriptions emplies d'émotions, les rues de Tokyo, les cafés, le Mont Fuji, et tous ces lieux qu'elle visite. On s'émerveille aussi devant les mœurs des japonais qui nous semblent si étranges. Ce qui m'a le plus amusée est leur sens de la politesse complètement différent du nôtre, et j'ai appris avec beaucoup d'étonnement que chez les nippons, l'art de faire la conversation est un métier.