Yukio Mishima - Papillon
Au dos du livre - Résumé :
Papillon, suivi de La lionne
Traduit du japonais par Ryôji Nakamura et René de Ceccatty.
Extraordinaire interprète de l'opéra de Puccini Madame Butterfly, la cantatrice Tamaki Miura donne ce soir un dernier récital bouleversant. Parmi les spectateurs, Kiyohara se remémore un autre récital, vingt ans plus tôt, à la Scala, auquel il assista avec la jeune Hanako.
Dans ces deux nouvelles sobres et émouvantes, le grand romancier japonais explore différentes facettes de l'amour et de ses tourments.
Traduit du japonais par Ryôji Nakamura et René de Ceccatty.
Extraordinaire interprète de l'opéra de Puccini Madame Butterfly, la cantatrice Tamaki Miura donne ce soir un dernier récital bouleversant. Parmi les spectateurs, Kiyohara se remémore un autre récital, vingt ans plus tôt, à la Scala, auquel il assista avec la jeune Hanako.
Dans ces deux nouvelles sobres et émouvantes, le grand romancier japonais explore différentes facettes de l'amour et de ses tourments.
Mon avis :
Tout d'abord, j'ai trouvé étrange que les première et quatrième de couverture ne présentent que la première nouvelle, Papillon. En effet, c'est la plus courte des deux nouvelles de ce livre. En plus de ça, je n'y ai absolument rien compris. Des constructions de phrases complètement obscures aux jugements de valeur étranges de l'auteur, des personnages non présentés à l'excès de poésie qui s'empare du texte, pour moi cette nouvelle est incompréhensible. Je ne l'ai donc pas trop aimée.
La seconde nouvelle, La lionne, est bien plus facile à lire au niveau de la forme. Je dis au niveau de la forme, parce qu'au niveau du fond, pour une nouvelle concernant "l'amour et ses tourments", je la trouve tout de même extrêmement dure et cruelle. Sans vouloir en révéler plus, je suppose qu'on peut dire que le titre est adapté.
Ce livre m'a donné l'impression que la différence de culture entre les orientaux et les occidentaux est tellement importante que nous ne pourrons jamais nous comprendre vraiment, malgré toutes les traductions qu'il pourra y avoir.
La seconde nouvelle, La lionne, est bien plus facile à lire au niveau de la forme. Je dis au niveau de la forme, parce qu'au niveau du fond, pour une nouvelle concernant "l'amour et ses tourments", je la trouve tout de même extrêmement dure et cruelle. Sans vouloir en révéler plus, je suppose qu'on peut dire que le titre est adapté.
Ce livre m'a donné l'impression que la différence de culture entre les orientaux et les occidentaux est tellement importante que nous ne pourrons jamais nous comprendre vraiment, malgré toutes les traductions qu'il pourra y avoir.