Margaux Motin - La théorie de la contorsion
Au dos du livre - Résumé :
Je suis quelqu'un d'assez souple, dans la vie, en général. J'veux dire, je m'adapte à peu près à toutes les situations. Mais dès qu'on essaie de me ranger dans des cases et de me coller des étiquettes, je suis trop nombreuses, on fait des crises de claustrophobie. C'est mauvais pour mon teint, et en plus, après, je digère mal. Je veux bien être "Mère", ça me va. "Illustratrice", c'est cool. "Fiiiille", ça me satisfait, de toute façon, si je devais faire pipi debout, j'arrêterais pas de saloper mes godasses. Mais je ne peux pas être que ça, tout le temps. Je veux être libre d'être toutes les femmes que j'ai envie d'être, même celles auxquelles j'ai pas encore pensé, même celle que je ne pensais pas vouloir être y'a cinq minutes. Et ça me semble évident que ça serait archi pas écologique tout le papier qu'il faudrait pour coller des étiquettes à toutes ces bonnes femmes... Donc autant nous laisser courir toutes nues dans les champs de pâquerettes. CQFD.
Mon avis :
C'est vrai que je me mets à lire beaucoup de suites, et en général c'est parce que les premiers volumes me plaisent... Pour ceux qui n'ont pas vu les articles précédents, il s'agit de la suite de J'aurais adoré être ethnologue, premier tome vraiment poilant des histoires de l'illustratrice Margaux Motin.
Ce que j'ai particulièrement aimé dans cette suite, c'est qu'on y retrouve le ton léger et l'humour qui le caractérisait.
Parfois tendre, parfois amusante, parfois fashion victim, parfois bourrée, Margaux nous livre un peu de toutes les facettes qui font sa personnalité déjantée, et ça, c'est bon pour le moral :)
Ce que j'ai particulièrement aimé dans cette suite, c'est qu'on y retrouve le ton léger et l'humour qui le caractérisait.
Parfois tendre, parfois amusante, parfois fashion victim, parfois bourrée, Margaux nous livre un peu de toutes les facettes qui font sa personnalité déjantée, et ça, c'est bon pour le moral :)