Delphine de Vigan - D'après une histoire vraie
Au dos du livre - Résumé :
"Tu sais parfois, je me demande s'il n'y a pas quelqu'un qui prend possession de toi."
Delphine de Vigan est notamment l'auteur de No et moi, des Heures souterraines et de Rien ne s'oppose à la nuit, Prix Fnac, Grand prix des lectrices de Elle et Prix Renaudot des lycéens. Ses livres sont traduits dans le monde entier.
Delphine de Vigan est notamment l'auteur de No et moi, des Heures souterraines et de Rien ne s'oppose à la nuit, Prix Fnac, Grand prix des lectrices de Elle et Prix Renaudot des lycéens. Ses livres sont traduits dans le monde entier.
Mon avis :
De la même autrice, j'ai lu No et moi, que j'avais trouvé très touchant.
Ici, dès le début, la narratrice nous fait entrer dans sa sphère intime, nous livre des détails de son passé, de son enfance, ses faiblesses. Le style m'a rappelé Nothomb, dans le sens où on ne sait plus trop démêler le vrai du faux, l'autobiographie de l'invention. Le roman m'a évoqué Antéchrista, où deux femmes s'aiment et se détestent tout à la fois. J'ai trouvé le personnage de Delphine, si prompt à se poser tout un tas de questions, assez intrigant : j'ai du mal à comprendre les gens qui s'arrachent les cheveux sur des questions sans réponses, qui doutent de tout, voire qui laissent les autres écrire leur vie à leur place. Le roman m'a paru être une réflexion sur le soi, sur l'écriture, sur le rapport au regard des autres aussi. Peut-être aurait-il été préférable que je lise son précédent ouvrage pour mieux comprendre la fin, qui m'a laissée un peu perplexe.
Ici, dès le début, la narratrice nous fait entrer dans sa sphère intime, nous livre des détails de son passé, de son enfance, ses faiblesses. Le style m'a rappelé Nothomb, dans le sens où on ne sait plus trop démêler le vrai du faux, l'autobiographie de l'invention. Le roman m'a évoqué Antéchrista, où deux femmes s'aiment et se détestent tout à la fois. J'ai trouvé le personnage de Delphine, si prompt à se poser tout un tas de questions, assez intrigant : j'ai du mal à comprendre les gens qui s'arrachent les cheveux sur des questions sans réponses, qui doutent de tout, voire qui laissent les autres écrire leur vie à leur place. Le roman m'a paru être une réflexion sur le soi, sur l'écriture, sur le rapport au regard des autres aussi. Peut-être aurait-il été préférable que je lise son précédent ouvrage pour mieux comprendre la fin, qui m'a laissée un peu perplexe.
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